Rencontre insolite avec un papa investisseur dans l’immobilier … aussi timide que moi.
Voici la retranscription complète de cette interview.
Bonne lecture !
Christelle : Bonjour ! Je suis Christelle du blog Nouveau Tournant dédié aux parents investisseurs. Et j’ai le plaisir de rencontrer Kris, Kris investisseur, c’est ça ? C’est comme ça que tu t’appelles ?
Kris : Kris invest in the city…
Christelle : Ah oui, Kris invest in the city.
Kris : Mais peu importe, c’est juste une marque ça, c’est…
Christelle : Ok. Alors, je me suis vraiment dirigée vers toi parce que tu es un papa.
Kris : Oui.
Christelle : Je voulais que tu te présentes, que tu nous parles un peu de ton parcours.
Kris : Alors, c’est vrai que je suis quelqu’un plutôt timide à l’origine, même si je travaille beaucoup ce genre de chose.
Et du coup je n’aime pas spécialement trop parler de moi mais on m’a souvent dit qu’il fallait, pour aider un maximum de personnes, discuter un petit peu et expliquer d’où on vient, par quoi on est passé pour montrer quelle est la réalité de l’entreprenariat.
Parce que finalement l’immobilier c’est de l’entreprenariat. Fonder une famille, on ne va pas dire que c’est de l’entreprenariat mais ça passe aussi par des étapes et ce n’est pas tous les jours faciles hein, ça c’est sûr.
Et du coup là j’essaie de me forcer un peu plus à parler de moi, donc je vais le faire aujourd’hui.
Christelle : Oui, c’est un honneur en tout cas.
Kris : Bon ben…
Christelle : Si, si.
Kris : Pour entrer un petit peu dans les détails, je suis né dans un quartier un peu sensible à Grenoble.
J’ai un petit peu souffert quand j’étais jeune de donc ma timidité, à l’école notamment où j’ai eu quelques… je suis revenu avec le nez un peu ensanglanté (…). Donc je ne savais pas spécialement me défendre, d’ailleurs je ne le sais toujours pas, mais oui j’ai appris un petit peu à me débrouiller un petit peu tout seul dans la difficulté. Après, il y a des gens qui ont une vie bien plus compliquée hein, ce n’était pas non plus catastrophique mais c’est vrai que ça n’a pas été simple les premières années.
Du coup à 14 ans, quand j’avais 14 ans, mes parents ont pris la décision, en voyant un peu ce qui se passait à l’école, de partir à l’extérieur de la ville et d’aller vivre à la campagne.
Et du coup c’était nettement plus facile de ce côté-là, nettement plus facile de ce côté-là sauf que j’étais timide mais surtout je suis asthmatique, et du coup j’étais allergique. Donc en arrivant à la campagne, j’avais un autre problème, c’était les allergies, donc les allergies aux pollens, les allergies à pas mal de choses. Donc, bah ça a été encore des choses un peu compliquées qui ont fait qu’en fait jusqu’à 18 ans, 19 ans, je n’ai pas trop réussi à vraiment m’affirmer à propos de qui j’étais, de ce que je voulais faire, où je voulais aller.
J’étais plutôt quelqu’un d’un peu passif, un peu transparent, très transparent, et ça c’est des choses, ça fait partie des choses qui m’ont un peu touché.
Être transparent dans une classe quand on est enfant, on a envie d’être un peu la… pas le centre et l’attention mais se montrer, s’affirmer, on a besoin de ça, je pense, quand on est ados.
Et du coup j’ai pu le faire que plus tard, qui a été un peu ma seconde vie quand je suis arrivé au Club Med un peu par hasard, même beaucoup par hasard.
Alors, puisqu’il faut que je parle de moi, du coup j’en profite pour en raconter cette petite anecdote.
Christelle : Oui, si tu veux.
Kris : C’est mon arrivée au Club Med qui a été un tournant dans ma vie, c’est que je me suis retrouvé par hasard à postuler à Pôle emploi pour un poste que je ne connaissais pas au Club Med.
Et j’étais interviewé… comment on appelle ça, j’ai eu un entretien.
Et avant d’avoir cette entretien en fait, ils nous ont tous mis, on était je ne sais pas six ou sept dans une salle d’attente dans un hôtel pas très loin d’ici à Montpellier.
Et j’étais… il n’y avait que des filles d’ailleurs, et à l’époque j’étais plus impressionné que maintenant par les filles, et elles avaient toutes fait des choses supers, elles avaient fait le tour du monde, elles fréquentaient des gens extras et tout.
Et moi, je n’avais pas fait grand-chose hein, le voyage le plus loin que j’ai pu faire, c’était partir en Espagne sur la Costa Brava et voilà, un petit séjour linguistique en Allemagne et c’est tout.
Et elles, elles avaient fait le tour du monde, donc ça m’a impressionné.
Et qu’est-ce que j’ai fait du coup d’après toi ?
Je me suis cassé.
Christelle : C’est vrai ?
Kris : Donc, je suis parti oui, je crois que je n’ai jamais raconté cette histoire…
Christelle : D’accord.
Kris : Et je suis parti… je suis sorti de là… je me suis cassé.
Je pense que ça peut parler à des gens parce que c’est vous montrer à quel point la peur, la timidité peut faire quand on ne peut ne pas oser, perdre beaucoup de temps et d’énergies. Et j’ai fait une chose qui fait que j’ai passé ce cap là et de ma petite vie de campagnard qui vient d’une cité sensible, hyper timide etc. je me retrouvé à travailler avec des gens incroyables à faire le tour du monde et avoir comme clients. J’ai eu Zidane, j’ai eu David Douillet, j’ai eu en client Chirac, j’ai eu… j’ai rencontré des gens incroyables, Jean-Pierre Pernaut, des miss France, … J’étais dans une espèce d’autre monde…
Christelle : D’accord.
Kris : Je suis vraiment parti de la campagne et je me suis retrouvé dans un autre monde comme ça avec plein d’entrepreneurs, voilà un peu la suite logique de fil conducteur.
Christelle : Oui.
Kris : Donc voilà, j’ai passé cette étape en me foutant un coup pied dans le cul, si je peux me permettre l’expression.
Christelle : Et ça t’a permis du coup de surmonter ta timidité…
Kris : Non.
Christelle : Non, quand même.
Kris : Non, clairement non.
Christelle : Tu penses que tu l’as toujours.
Kris : Et je l’aurai toujours.
Christelle : Oui.
Kris : Je l’aurai toujours et j’ai appris très tard… il n’y a pas longtemps qu’en fait c’était en fait une de mes forces.
Christelle : Oui.
Kris : On fait de la timidité une faiblesse parce que la timidité, ça vient de la sensibilité. Donc, c’est vrai, on vit dans un monde où on apprend à cacher cette sensibilité, cette timidité, où on dit que ce n’est pas bien, tout ça, on est en ce moment, je ne sais pas si on peut parler de ce séminaire ? …
Christelle : De François Denis.
Kris : De François Denis, Riche à 30 ans, et on a eu un intervenant qui a eu une vie très très difficile. Et c’est marrant parce que je me surprends encore à être devant des gens qui sont très bienveillants et il m’a fait, il m’a fait…
Christelle : Oui, moi aussi.
Kris : des larmes, mais je suis un mec, donc je n’ai pas le droit de pleurer, mais c’est con en fait parce que finalement c’est aussi une force, et la sensibilité peut faire, qu’on arrive à comprendre des gens…
Christelle : Bien sûr.
Kris : peut-être plus que d’autres. Et du coup on est capable de leur vendre quelque chose puisque si on doit parler marketing, même si ce n’est pas mon truc aujourd’hui, mais du coup le fait d’être sensible amène donc cette sensibilité, cette analyse, peut-être des gens et du coup on est capable de plus rapporter et… voilà comment j’essaie de m’en servir aujourd’hui.
Christelle : D’accord.
Kris : Et j’ai fait un monologue.
Christelle : Mais non, c’est super. Et du coup juste pour relier par rapport à l’immobilier, parce que toi c’est vraiment ton domaine de prédilection, tu as… dis nous… peut-être synthétiquement, ce que tu as pu faire, ce que tu as pu accomplir, puisque c’est ta profession aussi maintenant, ça, c’est ce que j’ai compris.
Kris : Oui, ce n’est pas une profession, je ne suis pas non plus un expert. C’est une suite d’opportunités en fait. Je ne suis pas né en me disant, je veux faire de l’immo, c’est ma passion, je kiffe.
En fait, ça l’est devenue, je me suis rendu compte que l’immobilier c’était vraiment un dénominateur commun pour tous ceux qui aujourd’hui vivent dans le confort.
Pas dans l’argent mais dans le confort, et dans la liberté financière etc. (…) et je me suis dit, « cool l’immo, on va faire de l’immo », sans trop de conviction.
Et donc au Club Med, j’ai rencontré un mentor, si on peut dire … même si je n’aime pas trop le terme, j’ai rencontré un mentor qui m’a un peu pris sous son aile même si je me suis retrouvé finalement un peut tout seul, mais malgré tout ça a été le deuxième, on va dire, élément déclencheur.
Donc le premier, on va dire la PE, un pôle emploi ; et le deuxième au Club Med, cette rencontre où j’ai pris, on va dire, un second train où j’ai franchi un cap.
Quand j’ai commencé, je me dis : « putain, mais qu’est-ce que je fous là ? » Et finalement, ça a pris tout son sens avec le temps, j’ai travaillé mon pourquoi, j’ai avancé…
Christelle : Alors justement, ça tombe bien, j’avais préparé cette question : quel est ton pourquoi ?
Kris : Je cherche encore la définition de… ma définition de quel est mon pourquoi, mais moi clairement aujourd’hui, ce n’est pas que je ne suis pas quelqu’un d’affirmé mais j’ai des envies. J’ai des choses que j’adore etc. le sport, les voyages, la famille, mais « mon pourquoi » ce sont mes enfants, j’ai deux bébés. Alors, ce n’est pas idéal parce qu’ il faut aussi apprendre à avoir des envies et, on va dire, se centrer aussi sur soi, mais j’aime tellement mes enfants aujourd’hui et ma famille que mon pourquoi aujourd’hui c’est ma famille.
Christelle : Oui je partage à 100%.
Kris : Je kiffe mes enfants, j’adore… je suis trop bien avec elles. Et l’immobilier, c’est pour elles, ce que j’essaie de construire aujourd’hui. Voilà, c’est pour elles, je pense, que je fais tout ça mais aussi pour moi…
Christelle : Donc, c’est pour construire un patrimoine à leur léguer, c’est ça ?
Kris : Non.
Christelle : Non.
Kris : Non. Je me permets de dire « non ».
Christelle : Oui, dis-moi.
Kris : Mais pour le coup, non, ce n’est pas un patrimoine à leur léguer parce que je veux, je… on en discute un peu avec ma femme même si les enfants qui n’ont que deux ans et trois ans et demi aujourd’hui. Je ne veux pas leur léguer un patrimoine, je veux leur léguer une… comment dire, le goût de se battre pour avoir ce qu’on veut.
Christelle : D’accord.
Kris : parce que si on a déjà du patrimoine, je ne crois pas qu’on se rend compte de la valeur de l’argent en fait.
Par contre si on en chie comme moi dans les champs quand j’étais à la campagne pour gagner quelques francs pour pouvoir se payer son permis, ben on sait ce qu’est la valeur de l’argent et on reste connecté au monde et aux valeurs saines.
On ne devient pas un péteux qui roule en BM ou je ne sais pas quoi… c’est bien les BM, j’aimerais bien en avoir une. Je roule en Kangoo pourtant…
Mais plus tard peut-être, ce n’est pas aujourd’hui ma priorité, mais je fais des raccourcis en disant péteux en BM, tout ça. Mais le pourquoi c’est aussi ça. Ce sont les enfants, l’éducation saine et qu’elles soient heureuses au maximum, parce qu’il y a tellement d’écueils dans une vie que donner de l’argent tout de suite et ne pas savoir ce qu’est la valeur de l’argent. C’est vraiment leur donner un écueil supplémentaire.
Christelle : Oui, bien sûr. Donc du coup l’immobilier pour toi, ça sert à quoi alors par rapport à ton pourquoi ?
Kris : Bon aujourd’hui, je fais de l’immobilier et non pas de coaching ou de séminaire etc. c’est… aujourd’hui, c’est ce qui me permet de vivre.
Christelle : Oui, voilà, tout simplement.
Kris : Alors en plus, c’est vrai que ça m’éclate.
Christelle : Oui, c’est ta passion.
Kris : Ce qui m’éclate, je ne sais pas si c’est une passion. J’aime ce que je fais, j’aime chercher des biens, quand je vais en vacances, je cherche des biens, ça m’amuse. Mais ce que j’aime surtout, c’est le… je me dépasse parce que… Tu vois là, je parle, c’est fluide aujourd’hui et c’est bien, dès fois ça ne l’est moins. En fait, c’est un challenge pour moi, ça aussi, parce que quand je finis un interview ou quand je viens acheter un appart, deux puis quatre puis… hein, et en fait j’ai une espèce de satisfaction à me dire : « Putain, voilà, j’y suis arrivé, Yes ! C’est cool ». Ce n’est pas tant l’immobilier ou ce n‘est pas tant l’argent, c’est vraiment ce sentiment d’avoir dépassé ses… Ce n’est pas un goût de challenge, c’est comme une espèce de revanche sur moi-même et de me dire, « ben c’est bon, on peut le faire ».
Christelle : Oui, bien sûr.
Kris : Je ne sais pas si je suis assez clair.
Christelle : Si, si.
Kris : Donc, je suis en construction de ce pourquoi. Je suis en construction de mon offre aujourd’hui, de ce que je propose à mes clients parce ce sont des clients mais ce sont surtout les gens avec qui je travaille et ce sont surtout des amis aujourd’hui en fait.
Christelle : Toi, tu es chasseur hein ? Oui, parce qu’on n’a pas de vie en fait.
Kris : Oui mais tu as raison. Mais en fait aujourd’hui, je suis un papa… je suis un papa investisseur… Bon voilà, je ne veux pas résumer un chasseur et je préfère, s’il faut résumer, je suis un papa investisseur comme dirait « Joe de Savoie » sans le citer.
Christelle : Coucou Joe !
Kris : C’est pour ma famille, pour moi aussi bien sûr. Et oui, ça m’amuse de dépasser mes limites, celle-ci en tout cas. Oui, oui, je chasse aujourd’hui des biens, mais là ce que… si je peux parler un peu de mon offre habituelle, aujourd’hui je développe une offre depuis quelques mois avec d’ailleurs des clients qui sont là aujourd’hui, qui sont des amis.
Quand quelqu’un crève la faim, plutôt que d’aller lui filer même un sandwich, il faut lui apprendre un métier quoi. Il faut le foutre un coup de pied dans le cul, c’est peut-être mieux d’ailleurs… parce qu’en réalité on est peut-être pas obligé de connaître un métier, d’être un hyper technicien pour vraiment gagner notre vie, il suffit d’y aller, l’action de le faire pour réussir.
Si on a vraiment envie, on peut gagner sa vie.
Donc aujourd’hui, j’essaie vraiment d’aider un maximum de gens qui veulent se lancer… à gagner leurs vies grâce à l’immobilier, à le faire.
Et effectivement, s’ils n’y arrivent pas avec cette suite logique, avec cet accompagnement que je propose, je peux éventuellement proposer de leur chasser un bien à Montpellier. Et aujourd’hui, c’est plus l’accompagnement que je fais, telle est mon offre aujourd’hui.
Christelle : Et du coup si on veut te retrouver, tu es visible…
Kris : Sur Facebook.
Christelle : Sur Facebook.
Kris : Vous pouvez aller sur le site Invest In The City, on le fait peu vivre, on l’utilise vraiment par étau à fond, c’est-à-dire qu’on se concentre sur le plus facile, le plus simple aujourd’hui. Aujourd’hui, je suis vraiment contacté sur Facebook, sur Messenger…
Christelle : Donc, c’est Kris…
Kris : et si je ne réponds pas, il ne faut pas m’en vouloir. J’ai vraiment choisi aujourd’hui de ne pas déléguer la partie communication parce que je suis très mauvais, c’est un challenge pour moi aussi. Et donc, je réponds, moi, à tous les messages.
Il n’y a pas de boîte et tout ça, machin, je le fais moi. Je réponds à tout le monde, parce que si on va ensuite travailler ensemble sur l’accompagnement, il vaut mieux m’avoir du début à la fin moi pour éviter d’avoir réexpliqué, comme ça quand vous me parlez, je me souviens à peu près de ce que vous m’avez dit et on est plus efficace tous, et on sait surtout si ça matche parce qu’il faut qu’on se kiffe l’un l’autre, c’est dans les deux sens, il faut que ça matche pour que ça réussisse. Ce n’est pas une notion de client… enfin comment dire, ce n’est pas un… je ne sais pas comment l’expliquer…
Christelle : Oui, il faut…
Kris : Tu vois ?
Christelle : Enfin, c’est une question de feeling et d’énergie aussi…
Kris : C’est un sport d’équipe dans l’entreprenariat, il n’y a pas un client et un mec qui donne des ordres sinon ça ne matche pas et ça ne marche pas. Moi, j’ai travaillé comme ça pendant quelques années en tant qu’agent immobilier et ça m’a gonflé.
Bon, je vendais bien, je gagnais ma vie mais je gagne mieux ma vie maintenant à renvoyer balader des clients quand ça ne matche pas. Et c’est marrant parce que vous l’envoyez balader parce qu’ils me prennent pour un… pour de la merde ou alors ça ne marche pas, bah du coup quelques fois ils reviennent en disant, « peut-être tu as bien fait de me renvoyer balader, ça m’a remis en place », parce que moi aussi on m’envoie balader et ça m’a remis en place.
Christelle : Bon, ok. Donc du coup au niveau de ton profil, on tape « Kris Invest… »
Kris : Oui, sur Facebook, « Kris Invest In The City… Moi, j’essaie de répondre d’ailleurs…
Christelle: Ah oui ?
Kris : Oui, on s’était…
Christelle : C’est ce que j’ai fait.
Kris : on s’était contacté comme ça et j’ai… oui, j’ai un peu de mal à répondre à…
Christelle : Ah mais tu m’avais répondu et je m’étais dit, « ok, je sais quand je vais te voir » et je savais que ce séminaire, c’était l’opportunité. Donc, il faut savoir aussi patienter quand on veut rencontrer certaines personnes et…
Kris : Bon enfin, là ça fait un peu la star…
Christelle : Non…
Kris : Non, mais après il y a une question de moment aussi…
Christelle : Voilà, c’est ça. Je m’étais dit, « ce n’est pas encore le moment », et puis c’est vrai que c’est toujours plus agréable de se rencontrer quoi que de passer…
Kris : Oui, mais le rapport humain, moi je suis devenu aujourd’hui allergique au téléphone, pourtant j’en ai deux…
Christelle : Ah ah…
Kris : Je suis allergique au téléphone, je ne réponds plus au téléphone, je suis… Aujourd’hui, j’ai des appartements en ligne, les clients m’appellent pour visiter, je ne réponds pas, c’est un comble, je ne réponds pas. ça fait chier, je ne réponds pas au téléphone. Et puis c’est vrai que je préfère concentrer mon temps sur l’accompagnement parce que c’est plus efficace pour moi et c’est plus efficace pour mes clients aussi…
Christelle : Bien sûr.
Kris : plutôt que de faire visiter un client que je ne connais pas, il va bien me servir de guide touristique autant que le mec il vienne me voir et qu’il me dise, « moi, j’ai un rêve, j’ai une mission, je veux pour ma famille ou je veux pour moi dépasser ce cap-là, investir dans l’immo et vraiment gagner de l’argent grâce à l’immobilier », ou voilà tout simplement acheter sa résidence principale, pourquoi pas, ça peut être aussi un objectif. Et c’est là que j’interviens et du début à la fin j’accompagne dans ce projet-là.
Christelle : Ok. Et ben parfait… C’est très clair, merci, je te remercie beaucoup.
Kris : Ben merci à toi de me permettre d’affiler un petit peu comment je vais expliquer les choses etc.
Christelle : Ok, ben n’hésitez pas à rencontrer du coup Kris, à venir vers lui.
Et pour ma part, vous pouvez revenir sur mon blog Nouveau Tournant, vous abonner à cette newsletter quotidienne parce que je prends l’effort d’écrire chaque jour pour délivrer le meilleur de moi-même, trucs et astuces, méthodes pour les parents investisseurs.
Parce que c’est vraiment mon pourquoi, vous aider à atteindre cette liberté pour vous. Merci.
Kris : Bravo ! Merci à tous.
Christelle : A bientôt.
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